A quai ou en wagon, le masque s'impose
Exigé depuis neuf mois dans les transports en commun, certains usagers négligent encore le port du masque. Les verbalisations se multiplient notamment auprès des passagers montant dans le train, indique le ministre de la Mobilité.
Un usager sans masque risque un avertissement taxé de 145 euros.
Accessoire phare de 2020, obligatoire dans les transports en commun depuis mai, l'usage du masque n'est pourtant toujours pas adopté par l'ensemble des usagers. Les habitués du rail en particulier. «Certains passagers retirent leur masque après le passage du contrôleur», déplore ainsi François Bausch (Déi Gréng), le ministre de la Mobilité, dans une réponse parlementaire publiée vendredi. En dix jours de contrôles, 80 personnes ont été sanctionnées, dont la majorité en gare.
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L'obligation est pourtant toujours en vigueur à l'accès ou en sortie de wagon. Pour l'avoir ''oublié'', 65 usagers ont ainsi reçu un avertissement taxé de 145 euros en gare de Luxembourg ces derniers jours (sur 5.192 passagers contrôlés durant cette opération).
Le ministre n'a pas précisé quant elle avait eu lieu, mais quelle forme prenait les contrôles «inopinés et réguliers», effectués par la police et les douanes. Les contrôleurs ne sont en effet pas autorisés à sanctionner un passager pour non-port du masque.
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A noter que le masque est également obligatoire dans les transports en commun une fois la frontière passée, sitôt arrivé en Belgique, en France ou en Allemagne.
