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L'art d'encore brouiller un peu plus les cartes

Histoire de ménager les organismes par les températures caniculaires que connaît actuellement la capitale biélorusse, Luc Holtz n'avait programmé lundi – comme dimanche du reste – qu'une seule séance d'entraînement.

Fidèle à son habitude, Luc Holtz n'a pas dévoilé l'équipe qui débutera le match face à la Biélorussie.

Fidèle à son habitude, Luc Holtz n'a pas dévoilé l'équipe qui débutera le match face à la Biélorussie. © PHOTO: Nicolas Bouvy

Histoire de ménager les organismes par les températures caniculaires que connaît actuellement la capitale biélorusse, Luc Holtz n'avait programmé lundi – comme dimanche du reste – qu'une seule séance d'entraînement.

«Par cette chaleur, il convient de ne pas multiplier les efforts», argumentait Luc Holtz, «surtout qu'on est en toute fin de saison et que la récupération doit être le maître-mot.» La séance d'une heure environ eut lieu à 19 h (et non 18 h 30 comme prévu initialement, mais les modifications horaires impromptues semblent être une habitude en Biélorussie) sur la pelouse même du stade Dinamo, théâtre des débats de ce mardi.

Les dix-huit Lions Rouges ont donc eu l'occasion de se familiariser avec l'environnement qu'ils fréquenteront mardi soir (le public en moins, cela va sans dire). Dans la première mouture de la petite opposition à neuf contre neuf, la dernière avant le match, Massimo Martino occupait bien le poste d'arrière gauche d'une défense à... trois avec Blaise et Schnell à droite. Le milieu de terrain à quatre se composait, de droite à gauche de Ch. Leweck, Gerson, Peters et Payal, avec Da Mota devant. Original.

Sachant qu'Eric Hoffmann est pratiquement sûr de sa place dans l'axe central défensif, reste l'énigme Laterza, positionné en milieu... axial dans le camp d'en face!

Lors du deuxième volet, la défense, toujours à trois, se composait de Malget (à droite), Blaise et Hoffmann. Les quatre pensionnaires de l'entrejeu étaient (de droite à gauche): Gerson, Payal, Peters, Ch. Leweck, avec cette fois Kitengé en pointe. Et toujours pas la moindre trace de Tom Laterza dans le camp des "titulaires"... Manifestement, Luc Holtz cherche toujours la solution miracle à 24 heures des débats.

A noter que l'hymne national luxembourgeois (comme le biélorusse d'ailleurs) avant le match sera interprété a capella par un chanteur local, venu répéter ses gammes lundi après-midi à l'hôtel Crowne Plaza auprès d'un professeur de choix en matière de prononciation exacte: René Serangeli, l'intendant de l'équipe nationale.

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